Algérie: Notes de lectures

Il s'agit d'une annexe du site Koléa-Bône.net. Etant amené à parcourir le Web,à lire livres et revues,à compulser des archives concernant l'Algérie,je commence à être submergé par des notes ...que je finis par oublier ou égarer. Ce blog (gratuit) est avant tout un moyen d'archivage personnel trés pratique mais peut-être pourra t-il interesser également d'autres passionnés d'Algérie. Il est livré comme tel...
J.P.

Le  1.1.05

LEXPRESS.fr - L'Algérie de 1988 à 1998

LEXPRESS.fr L'Algérie de 1988 à 1998
10 ans d'échecs politiques

La barbarie au quotidien

Les acteurs

Des femmes algériennes

L'Algérie et la France

Le jeu de Washington

Paroles d'experts

Livres

Revue de sites

Chronologie 1988-1998
par Catherine Gouëset

1988
Octobre: manifestations de jeunes à travers tout le pays. Le président Chadli appelle l’armée pour rétablir l’ordre. Bilan des émeutes : près de 500 morts.

1989
Février: nouvelle constitution, libéralisation du régime et instauration du multipartisme.
Septembre: légalisation du Front Islamique du Salut, créé en mars 1989.

1990
Juin: le FIS remporte les élections locales (54,25% des voix).

1991
Mai-juin: le FIS appelle à une grève illimitée pour exiger une élection présidentielle anticipée. Affrontements entre islamistes et forces de l’ordre. Proclamation de l’état de siège. Arrestation des dirigeants du FIS.
26 décembre: le FIS remporte le premier tour des élections législatives (47,5% des suffrages). Le taux d’abstention est de 41%.

1992
Javier: Chadli est forcé de démissionner et le premier tour des élection est annulé. Création d’un Haut Comité d’Etat (HCE) sous la présidence de Mohamed Boudiaf, rappelé d’exil.
Février: instauration de l’état d’urgence.
Mars: dissolution du FIS.
Juin: assassinat de Mohamed Boudiaf. Début de l'escalade de la violence.
Juillet: Liamine Zéroual remplace Khaled Nezzar à la Défense.

1993
Août: assassinat de Kasdi Merbah, ancien Premier ministre et ex-chef de la Sécurité militaire.

1994
Janvier: le général Zeroual devient chef de l’Etat.
Février: libération de deux hauts responsables du FIS : Ali Djeddi et Abdelkader Boukhamkham, emprisonnés depuis 1992.
Septembre-octobre: échec du dialogue entamé par le pouvoir avec le FIS. Mise en résidence surveillée des dirigeants du FIS, Abassi Madani et Ali Benhadj.
Novembre: colloque pour l’Algérie organisé à Rome par la communauté catholique de Sant’ Egidio. Désapprouvé par le gouvernement, il réunit la plupart des partis d’opposition (FIS, FLN, FFS, MDA, PT, Ennhada et maître Ali Yahia Abdenour, président de la Ligue algérienne des droits de l’Homme).
Décembre: prise d’otages dans un Airbus d’Air France sur l'aéroport d'Alger. Les agents du GIGN libèreront l'appareil sur l'aéroport de Marseille-Marignane. Les quatre terroristes seront tués.

1995
13 janvier: signature d’un «Contrat National » destiné à mettre un terme aux violences, par les principales forces de l’opposition réunies par la Communauté de Sant’Egidio de Rome.
Texte de la plateforme de Rome
30 janvier: un attentat à la bombe devant le commissariat central d’Alger fait 42 morts et 286 blessés. Il est revendiqué par les Groupes islamiques armés (GIA).
25 juillet: attentat revendiqué par les GIA dans le RER parisien. 7 personnes sont tuées et plus de 80 blessées.
2 octobre: selon le quotidien algérien La Tribune, les GIA accordent une semaine aux membres de l’Armée islamique du salut (AIS) pour rejoindre leur mouvement.
19 octobre: le FIS appellerait ses membres à quitter les GIA, dirigés par «une bande d’extrémistes », selon El Hayat.
22 octobre 1995: le président Zeroual annule la rencontre prévue avec Jacques Chirac au siège des Nations unies à New York après les vives critiques émises en France contre cette réunion.
16 novembre: élection présidentielle. Liamine Zéroual remporte 61% des voix ; M. Nahnah (Hamas, islamiste) 25,5% ; S. Sadi 9,6% des voix. Le taux de participation est élevé (75,6% des voix), malgré l’appel au boycott des partis de l’opposition signataires des accords de Rome.

1996
17 janvier: Abbdelahmid Mehri est évincé de son poste de secrétaire général du FLN. La nouvelle direction du Front rompt avec les partis qui avaient signé à Rome un appel à la paix.
Mai: les sept moines français enlevés en mars dans leur monastère de Tibéhirine par les GIA de Djamel Zitouni sont retrouvés égorgés.
28 novembre: référendum constitutionnel , qui donne les coudées franches au président Zeroual. Certains partis d’opposition avaient appelé à voter non. D'autres, au boycott du scrutin.

1997
Janvier: série de massacres dans la Mitidja, qui font environ 450 victimes.
5 juin: élections législatives largement remportées par le nouveau parti présidentiel, le Rassemblement national démocratique (RND).
15 juillet: libération conditionnelle du dirigeant du FIS Abassi Madani après six ans de détention. Il sera assigné à résidence le 1er septembre 1997.
Eté 1997: recrudescence des massacres, principalement dans les environs d’Alger, qui font plus de 1200 victimes. Tous les observateurs s’interrogent sur les responsabilités de l’armée.
Analyse de Benjamin Stora
21 septembre: l’Armée islamique du Salut, bras armé du FIS, appelle à cesser les combats à partir du 1er octobre.
23 octobre: élections locales. Le RND (Rassemblement national démocratique) remporte plus de 55% des suffrages, devançant le FLN (Front de libération national) et le MSP (ex-Hamas, islamiste modéré).
30 octobre: les principaux partis, toutes tendances confondues, s’unissent pour manifester contre la fraude électorale lors des élections locales. C'est la première fois.
25 décembre: élections au suffrage indirect du Conseil de la Nation, chambre haute du Parlement. Le parti présidentiel remporte 80 des 96 sièges.

Décembre 1997-Janvier 1998: après une relative baisse d'intensité pendant l'automne, les massacres reprennent quelques jours avant le début du ramadan, faisant plus de mille victimes. Les violences se déplacent notamment vers l'ouest algérien.

1998
19-20 janvier: visite d'une délégation de l'Union européenne. L'envoi de cette mission a été décidé à la suite de la multiplication des tueries depuis le début du ramadan.
8-12 février: visite d'une délégation de 9 députés européens.
25 juin: le chanteur kabyle Lounes Matoub, victime d'une embuscade, est assassiné près de Tizi Ouzou. Les émeutes qui se produisent en Kabylie les jours suivants prennent un caractère anti-gouvernemental.
22 juillet-3 août: une délégation de l'ONU séjourne en Algérie pour une "mission d'information".
11 septembre: le président Zeroual décide d'abréger son mandat et annonce des élections présidentielles anticipées.

LEXPRESS.fr - L'Algérie de Bouteflik

LEXPRESS.fr - L'Algérie de Bouteflika
1-Repères
a) Chronologie de 1998 à 2004
par Catherine Gouëset

1998
11 septembre: le président Zéroual décide d'abréger son mandat et annonce des élections présidentielles anticipées.
14 décembre: démission du Premier ministre Ahmed Ouyahia dans un climat de détérioration économique et sociale.

1999
Janvier: début de la campagne présidentielle pour l'élection du 15 avril. 7 candidats sont en lice: H. Aït Ahmed, A. Bouteflika, A. Djaballah, Y. El Khatib, M. Hamrouche, M. Sifi et A. Taleb Ibrahimi. Un scrutin qui paraît plus ouvert que les précédents.
14 avril: retrait de six des sept candidats qui se disputent la présidence pour protester contre des tentatives de fraude.
15 avril: élection d'Abdelaziz Bouteflika, considéré comme le candidat de l'armée. Les résultats officiels lui ont assuré 73,79% des suffrages exprimés par 60,25% des inscrits.
Juin: l'Armée islamique du Salut (AIS), bras armé du FIS, confirme officiellement l'abandon de la lutte armée annoncé en 1997, et se place sous l'autorité de l'Etat. Le chef du FIS, Abassi Madani annonce son soutien à cette initiative le 11 juin.
Juillet: le président Bouteflika annonce une loi sur «la concorde civile»: une amnistie pour les islamistes qui n'auraient pas commis de crime de sang. Ce texte sera soumis au parlement, puis à un référendum.
Septembre: la loi sur la «concorde civile», qui prévoit une amnistie totale ou partielle pour les islamistes armés non coupables de crimes de sang ou de viols, est adoptée par référendum avec 98,6% de «oui». Ce référendum est considéré par certains opposants comme destiné à redonner au président Bouteflika une légitimité que son élection ne lui a pas apportée. Novembre : Abdelkader Hachani, un des dirigeants du FIS, est assassiné à Alger.

2000
Janvier: expiration du délai accordé aux islamistes armés pour rendre les armes dans le cadre de la loi sur la concorde civile. Le bilan est mitigé. Juillet: a recrudescence de la violence fait 300 victimes en un mois; depuis la fin de l'application de la loi sur la concorde civile, le 13 janvier, plus de 1000 personnes ont été tuées.
Octobre: la police interdit une marche de soutien au soulèvement palestinien, par crainte de débordements.
Novembre: le gouvernement refuse de donner son agrément au nouveau parti islamiste Wafa (Fidélité et Justice), fondé durant l'été 1999 par l'ancien ministre Ahmed Taleb-Ibrahimi. Visite d'une délégation d'Amnesty International. Sa demande de rencontrer les hauts responsables de l'armée algérienne est rejetée par les autorités.
Décembre: une série d'affrontements entre groupes islamistes et forces armées font une cinquantaine de morts dans les rangs de ces derniers au début du mois.
Hiver 2000-2001: recrudescence des massacres qui font plusieurs centaines de victimes.

2001
Février: le témoignage d'un ancien officier des forces spéciales de l'armée, Habib Souaïdia (La sale guerre) qui a met en cause le rôle l'armée algérienne dans les massacres, suscite de vives réactions en Algérie.
Avril: des émeutes violemment réprimées font une soixantaine de morts en Kabylie et environ 1 300 blessés. Trois plaintes pour torture sont déposées en France contre le général Khaled Nezzar, venu à Paris faire la promotion de son livre. L'ancien homme fort du pouvoir algérien quitte précipitamment la France sans être inquiété.
Mai: extension des manifestations en Kabylie, puis à Alger, où, le 31, entre 100 000 et 200 000 personnes manifestent à l'appel du Front des forces socialistes (FFS).
Juin: le 14, la manifestation la plus importante jamais organisée à Alger tourne à l'émeute, faisant 4 morts et près de 1 000 blessés. Quelques jours plus tard, le gouvernement interdit les marches, alors que les émeutes redoublent d'intensité et s'étendent à d'autres régions.

2002
Janvier: la recrudescence des tueries fait 150 morts en un peu plus d'un mois. Le 8, Antar Zouabri, chef des GIA, est abattu par l'armée à Boufarik (Mitidja).
12 Mars: le président Bouteflika annonce que le tamazight, la langue berbère, va être inscrit dans la constitution comme «langue nationale». Les jours suivants, des affrontements éclatent dans plusieurs localités de Kabylie, faisant plusieurs dizaines de blessés.
30 Mai: le Front de Libération Nationale (FLN, ex-parti unique) obtient la majorité absolue avec 199 sièges sur 389 aux élections législatives. Le taux de participation n'atteint que 47%.
5 Juillet: le 40ème anniversaire de l'indépendance de l'Algérie est endeuillé par un attentat, le plus meurtrier depuis le début de l'année dans le pays, qui fait 38 morts à Laarba près d'Alger.
5 Août: le président algérien gracie tous les détenus condamnés à la suite des émeutes qui ont touché la Kabylie.
27 septembre: le général Nezzar, qui a intenté un procès en diffamation contre Habib Souaïdia est débouté par la justice française. Celle-ci estime dans ses attendus qu'il «n'appartient pas au tribunal» de juger l'Histoire.
10 octobre: le FLN remporte la majorité des assemblées communales et départementales lors des élections locales. Le taux de participation est de 50,11% hors la Kabylie, où le mouvement contestataire des âarchs (tribus kabyles) avait appelé au boycott.

2003
Janvier: une brusque flambée de violence fait plus de 90 morts en 4 jours, en majorité des membres des forces de sécurité, après une relative accalmie de quelques mois. Depuis octobre, le nombre mensuel de victimes était descendu en dessous de la centaine.
25 février: l'Algérie est paralysée par une grève générale, lancée par la puissante centrale syndicale de l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA) contre la politique de privatisation du gouvernement et la dégradation du pouvoir d'achat.
27 février: l'organisation Human Rights Watch dénonce, dans un rapport, le nombre record de disparus, 7000, soit le plus élévé dans tout autre pays ces dix dernières années, à l'exception de la Bosnie.
20 mars: plébiscité comme secrétaire général du Front de Libération Nationale lors de son congrès, le premier ministre Ali Benflis impose sa ligne à l'ex-parti unique.
5 mai: Abdelaziz Bouteflika limoge son premier ministre, qui deux mois plus tard, annonce sa candidature à la présidentielle de 2004.
21 mai: un séisme dont l'épicentre se trouve dans la région de Boumerdès fait plus de 2200 morts.
2 juillet: les deux dirigeants du Front Islamique du Salut (dissous), Abassi Madani et Ali Belhadj, condamnés en 1992 à 12 ans de prison pour atteinte à la sûreté de l'Etat, sont libérés.
5 septembre: le limogeage d'une partie des ministres du FLN renforce la rivalité pour l'élection présidentielle de 2004 entre le président Bouteflika et le secrétaire général du FLN Ali Benflis.

2004

8 avril: Abdelaziz Bouteflika est réélu président de la République avec 84,99% des suffrages.
3 août: démission du général Mohamed Lamari, chef d'état-major de l'armée algérienne.

b) Quelques données de base


2-Le poids de l'Histoire

M'hammed Yazid: «On a falsifié l'Histoire»
20/09/2004
Benjamin Stora: de l'Algérie au Maroc
31/10/2002
Mohammed Harbi: «le FLN a servi d'écran à la militarisation de l'Etat»
17/01/2002
La mémoire revendiquée du Maghreb


3-Société

Bataille sur la famille

La peste revient à Oran
31/07/2003
Le tremblement de terre de 2003

Bab el-Oued sauvé des eaux
21/11/2002

4-Vie politique

5-Economie

6-La politique extérieure

LEXPRESS.fr - L'Algérie coloniale

LEXPRESS.fr - L'Algérie coloniale


Chronologies de 1830 à 1954
1830: le 31 janvier, le Conseil des ministres français décide d'organiser un débarquement en Algérie, alors sous régence ottomane. Le corps expéditionnaire embarque à Toulon le 11 mai, les troupes françaises le 14 juin, à Sidi Ferruch. Le dey (régent) capitule le 5 juillet. La guerre de conquête sera longue et brutale. A Paris, les partisans de l'occupation restreinte et ceux de l'occupation totale s'affrontent. La France connaîtra une forte résistance des tribus et d’incessantes rébellions jusqu'en 1870.

1834: une ordonnance royale nomme un gouverneur général pour administrer les «possessions françaises». Le général Desmichel conclut un traité avec Abd El-Kader. En échange de la reconnaissance de la souveraineté de la France par ce dernier, Paris l'accepte en tant que souverain «émir des croyants».

1837: traité de la Tafna conclu entre le général Thomas Bugeaud et l'émir Abd El-Kader. La France lui abandonne les deux tiers de l’Algérie, ne conservant que deux enclaves autour d’Oran et d’Alger. Abd El-Kader édifie un Etat et appelle à la guerre sainte contre les envahisseurs.

1839: Abd El-Kader déclare la guerre à la France.

1841: Louis Philippe nomme le général Bugeaud gouverneur général à Alger. Il a pour mission d'occuper tout le territoire de l'ancienne régence ottomane.

1847: reddition d’Abd El-Kader. Des révoltes sporadiques agitent toujours l’Algérie.

1848: la deuxième République fait de l’Algérie une partie intégrante du territoire français.

1864: la confédération tribale des Ouled Sidi-Cheikh lance une insurrection.

1865: Napoléon III fait publier des senatus-consultes protégeant la propriété collective des tribus et donnant le droit à la naturalisation des musulmans. Farouchement opposés à cette politique, les colons parviendront à la mettre en échec avec l’effondrement de l’Empire.

1867: la famine fait 500 000 victimes.

1870: troisième République. L’Algérie ne dépend plus du ministère des Colonies mais de celui de l'Intérieur. Elle est divisée en trois départements. Les décrets Crémieux confèrent la qualité de citoyen français aux juifs d'Algérie.

1871: insurrection d'El Mokrani, en Kabylie, contre la confiscation des terres.

1881: le code de l’indigénat fait des musulmans des citoyens de seconde zone.

1889: une loi impose la nationalité française à tous les descendants d'Européens qui se trouvent sur place.

1911: les musulmans sont astreints au service militaire. 25 000 soldats musulmans tomberont sur le champ de bataille durant la guerre de 14-18.

1919: une timide réforme offre une représentation élue à un plus grand nombre de musulmans.

1926: fondation, à Paris, de l’Etoile nord-africaine, dirigée par Messali Hadj. Son objectif: l’indépendance de l’Algérie. Accusée de propagande subversive, elle est interdite en 1929.

1936: fondation du Congrès musulman algérien, dans le cadre du Front populaire. Le projet Blum-Viollette, visant à accorder la pleine citoyenneté à une élite de 21 000 musulmans francisée, est retiré sous la pression des colons.

1937: reconstituée en 1933, l’Etoile nord-africaine est à nouveaudissoute. Messali Hadj fonde, à Alger, le Parti du peuple algérien.

1938: Ferhat Abbas fonde l’Union populaire algérienne, qui revendique l’accession des musulmans à la citoyenneté française.

1939: dissolution des partis politiques ; arrestation des dirigeants nationalistes.

1940 : Vichy. Le décret Crémieux est annulé.

1942: débarquement anglo-américain à Alger.

1943: le Manifeste du peuple algérien, présenté aux Alliés par Ferhat Abbas, réclame l'égalité entre les communautés musulmane et européenne.

1945: la répression d’émeutes dans le Constantinois, à l’occasion de la Libération, fait 45 000 morts selon les nationalistes algériens.

1946: Ferhat Abbas crée l'Union démocrate du manifeste algérien (UDMA). Messali Hadj crée le Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques (MTLD)

1947: l'Algérie est dotée d'un nouveau statut, qui prévoit notamment une assemblée paritaire de 120 membre (60 pour le collège des Français, 60 pour le collège des musulmans). Le MTLD crée une organisation secrète (OS), armée d’un millier d’hommes prêts à la lutte armée. Démantelée en 1950, elle sera reconstituée en 1953.

1948: à la veille des élections à l’Assemblée algérienne, les deux tiers des candidats du MTLD sont emprisonnés. Grâce à cette fraude, les sièges du second collège échoient à des inconnus.

1953: les partisans de Messali Hadj sont écartés du MTLD. Printemps

1954: création du Comité révolutionnaire d’unité et d’action (CRUA). 1er novembre

1954: devenu FLN (Front de libération nationale), le CRUA déclenche la révolution algérienne.

La guerre d'Algérie

Les personnages clés de l'Algérie coloniale

Livres

1830-2002: 172 ans de drames et de passions
14/03/2002

Glossaire
14/03/2002


Ces Français qui sont restés là-bas
21/03/2002

Enfants de pieds-noirs
08/11/2004

CHRONOLOGIE à rebours:

Page d'accueil GACON
de 1997 à 500 avant J.C
1- La deuxième guerre d’Algérie
2- L’Algérie indépendante
3- L’Algérie coloniale
4- Les civilisations de l’Algérie
Histoire

Répertoire de sites utiles à l'enseignement ou à la recherche en Histoire-Géographie

Sites intéressants pour l'Histoire-Géographie
Incontournables...
















http://www.clionautes.org/ Le site de l'association des Clionautes, enseignants en histoire-géographie attachés
à la promotion des Tice dans leur enseignement.
En 2004, le site des Clionautes s'agrandit de Clio-collège, un site géré par Laurent Resse, qui
recense les sites Internet utiles pour le collège, classés et commentés. Ce site collaboratif vous invite à participer en proposant vos liens, vos suggestions d'utilisation pédagogiques...
http://www.clionautes.org/college/

http://soshg.free.fr/ Le site personnel
de Gilles Badufle, un site qui recense toutes les ressources utiles à un enseignant d'hist-géo. Vraiment incontournable pour ceux qui hésitent encore
à se lancer dans les Tice ou ceux qui recherchent les dernières nouveautés dans ce domaine.

http://www.aphg.asso.fr/accueil.htm
Le site de l'association des professeurs d'histoire et géographie.
http://www.histoire-geo.org/ Le
site de Jean-François Caremel collecte des cours, devoirs et propose des
échanges pédagogiques. Dans le même esprit, le site d'Eric Ranguin:

http://perso.club-internet.fr/erra
http://hgtice.free.fr Le site personnel de Daniel Letouzey, professeur d'hist-géo dans l'académie de Caen, responsable de la chronique Internet de la revue Historiens et Géographes et Clionautes actif.
Education nationale
L'Education Nationale se convertit peu à peu au WEB, les sites centraux,

longtemps de simples vitrines, proposent désormais de nombreuses

ressources. Ci-dessous les plus intéressants à notre avis :
Le site du ministère à l'adresse http://www.education.gouv.fr/
propose les informations officielles (BO au format PDF à
télécharger) mais aussi des liens sur les sites de ressources
de l'Education nationale. Les voici :

Le site Educnet: La page d'Histoire-Géo (http://www.educnet.education.fr/histgeo/default.htm)
propose différentes ressources et des liens sur les sites
académiques (voir plus bas). On y trouve aussi des comptes-rendus
d'activités du groupe de recherche sur les SIG. Ce site possède également des ressources en ECJS
(http://www.educnet.education.fr/ecjs/default.htm).


Le site Educasource, à l'adresse http://www.educasource.education.fr/, offre des ressources accessibles par un moteur de recherches. Tout enseignant peut s'inscrire (Fournir le code établissement).

Le site du CNDP à l'adresse http://www.cndp.fr/.

Une famille dans l'histoire:les Bacri

Une famille dans l'histoire

Fable de Roland Bacri / La vraie histoire sous la fausse fable
Michel Cohen Bacri de Livourne à Alger / La Bacriade ou la guerre d'Alger
Salomon Cohen Bacri et la Grande Nation / Bonaparte et Talleyrand
Site P.N - Histoire - Juifs

Mouloud Mammeri

Dz Lit - Mouloud Mammeri
Site Algérie
Littérature

Revue des revues sur le Maghreb

Revue des revues sur le Maghreb
Site Algérie
Cette revue des revues se propose de suivre pour vous une sélection de publications périodiques maghrébines ou sur le Maghreb et qui font partie des collections de la bibliothèque de la Fondation.

Chaque numéro reçu fait l'objet d'un texte de présentation qui essaie de vous rapprocher de son contenu. Un lien hypertexte vous donne l'état de la collection à la Bibliothèque.

Bon voyage !